1. Le laser : un concentré de lumière
Les premiers lasers ont été réalisés dans les années 1960.
Laser est l'acronyme de L.A.S.E.R. “Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation” (amplificateur d'ondes lumineuses par émission stimulée).
La lumière laser est :
• Monochromatique (composée d'une seule radiation),
• très directive et donc possède une très grande densité d'énergie. C'est pourquoi il est extrêmement dangereux pour l'½il. En effet, si le faisceau est dirigé dans l'½il, la rétine peut être endommagée même avec des lasers de faible puissance (dès 1 mW).

2. Principales utilisations des lasers en fonction de leur puissance

IV - Éclairement lumineux et luminothérapie
Non seulement la lumière nous permet de voir le monde qui nous entoure mais elle est également indispensable à notre bien-être.
En effet, lorsque l'automne arrive et que les journées deviennent sombres et courtes, beaucoup de personnes ressentent une baisse d'énergie, des difficultés à se réveiller ou s´endormir, elles ont le cafard, voire se sentent déprimées : on parle de dépression saisonnière ou SAD (Seasonal Affective Disorder).
Lorsque la luminosité de la lumière du jour baisse en dessous d´un seuil d'environ 2 000 lux au niveau de l´½il, notre cerveau se met à fabriquer de la mélatonine (appelée couramment « hormone du sommeil ») qui lentement va envahir notre corps au travers de la circulation sanguine et nous entraîner vers le sommeil. Ainsi, en hiver, le manque de lumière peut entraîner une somnolence excessive.
Une solution possible est la luminothérapie qui consiste à s'exposer à des lampes de fortes luminosités qui ne produisent pas d'ultraviolet dangereux pour la peau.
Non seulement la lumière nous permet de voir le monde qui nous entoure mais elle est également indispensable à notre bien-être.
En effet, lorsque l'automne arrive et que les journées deviennent sombres et courtes, beaucoup de personnes ressentent une baisse d'énergie, des difficultés à se réveiller ou s´endormir, elles ont le cafard, voire se sentent déprimées : on parle de dépression saisonnière ou SAD (Seasonal Affective Disorder).
Lorsque la luminosité de la lumière du jour baisse en dessous d´un seuil d'environ 2 000 lux au niveau de l´½il, notre cerveau se met à fabriquer de la mélatonine (appelée couramment « hormone du sommeil ») qui lentement va envahir notre corps au travers de la circulation sanguine et nous entraîner vers le sommeil. Ainsi, en hiver, le manque de lumière peut entraîner une somnolence excessive.
Une solution possible est la luminothérapie qui consiste à s'exposer à des lampes de fortes luminosités qui ne produisent pas d'ultraviolet dangereux pour la peau.